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LES VEUVES

Un film de

Steve mcqueen

avec

Viola Davis
Michelle Rodríguez
Elizabeth Debicki


- 2018 -
567
Lectures
Depuis
Le jeudi 31 Janvier 2019






Chicago. Un braquage tourne mal. Et alors qu’ils quittent le hangar leur servant de repère à bord d’une camionnette, les quatre gangsters essuient le tir nourri des policiers qui les attendaient. Etrangement le fourgon explose…
La mort de ces hommes laisse des veuves sans ressource ni défense, mais avec de lourdes dettes. Aiguillées par l’une d’entre elles, ces femmes qui ne se connaissent pas décident de réaliser le braquage qu’avaient prévu leurs époux…

La particularité de ce métrage réside dans sa duplicité, dualité du propos qui entre en résonance avec la duplicité de l’un des personnages.
Sur fond d’Amérique multiethnique, le réalisateur propose au public un faux polar mettant en scène un braquage au féminin. Faux polar parce que si le projet de braquage occupe la quasi-intégralité du métrage, sa réalisation ne dure que quelques minutes et n’a requis aucune préparation particulière : elles s’introduisent dans la demeure ; elles braquent une arme sur une femme qui referme aussitôt la porte ; elles ouvrent le coffre dont elles ont obtenu la combinaison ; elles fourrent les billets dans leur sac. A ce stade, polar oblige, quelques brèves complications surgissent, dont l’une est réglée par une ellipse magistrale.
Et sur fond de cette même Amérique multi ethnique, mais aussi rongé par la violence, le film fait mine de s’aventurer sur le territoire de la politique, du pouvoir, de la corruption et des trahisons. Il fait mine seulement de par la brièveté de son propos et l’absence d’explication quant aux raisons qui ont conduit l’un des personnages à la trahison (1).
Au final et toute chose restant égale par ailleurs, si aucun reproche ne peut être adressé au jeu des acteurs (2) ainsi qu’à la réalisation en soi, le regardeur ressortira probablement de la projection avec un sentiment confus d’un ratage. Car à viser deux cibles à la fois, aucune n’est véritablement atteinte.



1- D’aucuns pensent à « Il était une fois l’Amérique » de Sergio Leone, sorti en 1984

2- Daniel Kaluuya dans la violence sans limites ; Colin Farrell en héritier bafoué ; et bien sûr Viola Davis, Michelle Rodríguez, Elizabeth Debicki, Cynthia Erivo, les veuves si dissemblables.



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Sœurs D'armes



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