Six ans après que Dieu ait confié à Roger Vadim la délicate tâche de créer la femme, Max Pecas s’essaye à la besogne. Pour ce faire, il ne manque pas d’atouts ! La charmante future pin up, in magazine masculin Playboy, Elke Sommer est à l’affiche quant au visuel, Johnny Hallyday est au poster quant à la musique avec deux chansons oubliées depuis : « Douce violence » et « Il faut saisir sa chance ».
Malheureusement, Max oublie de charpenter son métrage d’un scénario un tant soit peu intéressant et se contente de filmer :
« Les errances d'une jeunesse dorée qui promène son désœuvrement et ses dépravations dans le décor paradisiaque de la Côte d'Azur… jusqu'au dénouement heureux. »
Autant dire que ce métrage entre en résonance avec le regardeur qui traine son ennui durant 88 minutes… jusqu'au dénouement heureux, jusqu’à ce que s’inscrive à l’écran le mot FIN.
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