Mae est engagée chez The Circle, le groupe de nouvelles technologies et de médias sociaux le plus puissant au monde. Au fil du temps, elle prend de plus en plus de responsabilités dans le groupe, impulsant des projets discutables…

D’après les spécialistes, de nombreuses infidélités au roman dont il est l’adaptation (1), emmaillent ce métrage. Mais qu’importe ? L’essentiel est ailleurs, il est dans l’objectif qu’il se fixe. Malheureusement, celui-ci se dilue dans la durée excessive, dans un manque criant de mordant quant à la dénonciation des dangers des réseaux sociaux, quant aux véritables objectifs des magnats du web.
La frontière vie privée, vie publique n’existerait plus et ceux qui refuserait cette évolution le paieraient dans leur chair… le danger ne révèle pas de la fiction, mais encore aurait-il fallu l’exposer crument dans cette fiction aux portes du réel. « The Circle» rate sa cible et le twist final, qui tarde trop à venir, trouve un regardeur endormi, bercé par la monotonie des décors



1- The Circle de Dave Eggers

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