Mexicains, bengalis, australiens, coréens… tous ne souhaitent qu’une seule chose : vivre en paix, dans le pays de leur choix. Certains parce qu’ils fuient la misère d’autre parce qu’ils rêvent de gloire.
Clandestins ils sont, expulsés ils peuvent le devenir… sauf s’ils décrochent le droit de passage. Un droit que les pays ne distribuent qu’au compte-gouttes.

Max Brogan n’est pas en charge de leur accorder ce droit, pourtant il tient entre ses mains le sort de ces milliers d’êtres.
Max Brogan est agent des Services d'Immigration de Los Angeles.

Au travers de quelques cas, « Droit de passage » nous conte l’histoire de tous les clandestins du monde et de ceux qui ont la lourde tâche de les pourchasser.

Loin d’être un chef d’œuvre du septième art, ce film simple et sans prétentions allie toutes les qualités du cinéma d’action ultra violent- à la F Coppola- et celles du cinéma d’auteur - à la Cassavetes.

Autant dire qu’il doit être vu

l a