Le parrain de la Mafia de Chicago, Luigi Petrovita, envoie ses tueurs éliminer un témoin que protège le FBI. Sans discernement, les hommes de Luigi mitraillent à tout va. L’une des victimes du massacre est le fils d'Harry Shannon, responsable du FBI.
Quelque temps plus tard, Harry rend visite à Mark Kaminsky, ancien agent qu’une bavure a contraint à quitter le service et à devenir shérif d'une petite ville. Il demande à Kaminsky d'infiltrer le gang à Luigi en lui précisant que l’opération restera officieuse, car une taupe gangrène l’agence.
Grâce à la gigantesque explosion d’un entrepôt d’essence, qu’il provoque, Kaminsky disparait. Il réapparait aussitôt à Chicago sous l'identité de Joseph P. Brenner et s’attaque aux intérêts d’un rival de Luigi. Ainsi, de fil en aiguille, il intègre l’organisation de Luigi…

Le spectateur suit d’un œil distrait, que capte par intermittence le décolleté en V de Monique (Kathryn Harrold), les tentatives de Schwarzie pour insuffler quelque nervosité à ce métrage au scénario abracadabrantesque, aux situations improbables et aux acteurs mollassons. Au terme de 80 minutes, où ce même regardeur a pu admirer l’impressionnante musculation de l’ex Mister Univers (1), il assiste à l’armement de ce susdit Monsieur Olympia (2). Et durant la vingtaine de minutes qui suit et conduit à l’end du métrage, ce n’est plus que mitraillages et mitraillages. Dommage qu’ils soient aussi laidement mis en scène.



1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Mister_Univers

2- https://fr.wikipedia.org/wiki/Mr._Olympia

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