A la suite d’une obscure folie qu’a catalysée une attaque extra-terrestre, la Terre est devenue inhabitable et a dû être évacuée… Un millénaire plus tard, un vaisseau spatial en perdition s’écrase sur cette planète inhospitalière !
Les seuls survivants de ce crash sont un père, sans peur, et son fils, tendance pleurnichard… et un Ursa, bête tueuse d’hommes que guide l’odeur des « phéromones dues à la peur »…
Le père, les deux jambes brisées, et donc paraplégique, délègue à son fils la lourde tâche d’affronter les dangers qui les entourent…

Ce métrage aux effets spéciaux de peu d’envergure, ce qui est un comble au vu du genre, table sur un casting minimaliste, deux acteurs, dont un cloué à un fauteuil, et quelques figurants, pour mieux instillé son étrange message, bouilli ingurgité au zinc d’un PMU scientologue et mal digéré
Ainsi Cypher expliquant la peur à son fils Kitai :
« La peur ne peut exister que dans notre vision de l'avenir. C'est une projection mentale qui nous fait craindre des choses qui n'existent pas et pourraient ne jamais exister.
(…)
Ne te méprends pas. Le danger est bien réel. Mais la peur est un choix. On se raconte tous des histoires. »

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