Jake et Lainey se sont rencontrés à l’université et c’est ensemble que ce même soir ils ont découvert les joies de la copulation.
Ils se retrouvent par hasard, 12 ans plus tard à New York, fortement addict l’un et l’autre au sexe, ils se lient d’amitié platonique, ce qui ne leur interdit pas d’échanger ou de commenter leurs expériences.

Probablement inspiré de « Quand Harry rencontre Sally » ce métrage déroule sa charmante histoire, histoire qui ne manque pas d’arracher un coupable sourire au plus prude des spectateurs.
Dans le couloir du dortoir d’une université, une fille légèrement hystérique, la jupe ultra courte, frappe violemment à une porte. Que veut-elle ? Que son ami, ou du moins celui qu’elle considère comme tel, ouvre la porte et la baise… Tout est dit et il ne sera plus question que de ça, que de baise. Mais que l’adepte des cabrioles et autres figures corporelles passe son chemin, car si la bande-son regorge de crudités, la bande images ne se départit jamais d’une stricte bienséance. Et c’est l’imagination qui est mise à contribution, comme lors de l’hilarante leçon de masturbation que prodigue Jake à Lainey.
« L’amitié entre homme et femme est-elle possible ? », « Jamais entre amis » répond non. Mais comment aurait-il pu répondre différent ? « Jamais entre amis » ne prétende pas être un essai psychosociologique sur les rapports humains, mais une comédie bavarde et romantique, sexy, subtile et intelligente, ce dont il s’acquitte avec brio

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