« On est foutu, on… »
dilapide, réchauffe, pollue, dérègle… à vous de choisir !
« trop »

Cette complainte se murmure dans le labyrinthe des espaces-temps, là où les inflexions des uns entrent en échos avec les oscillations des autres, s’amplifiant mutuellement et répétant à l’infini :

« on est foutu, on… »
dilapide, réchauffe, pollue, dérègle… à vous de choisir !
« trop »

Et les studios aux oreilles de Dumbo offrent au jeune public un voyage vers un monde merveilleux qui débute dans l’un de ses parcs d’attractions. On connaissait la porte des étoiles, on emprunte ici une passerelle vers un présent du futur qui se dérobe sous la barque d’un moutard des sixties. Et les robots chorégraphie du kung-fu pendant que quelques Transformers ébauchent de maladroits pas de danse post-mécanique
« Il faut rêver », disait Lénine, mais seul le dollar enflamme l’imaginaire du châtelain de la belle au bois dormant, pendant d’entre prémonitions et confusions « À la poursuite de demain » déroule ses effets spéciaux sculptés dans l’octet avant d’assener une leçon de philosophie aux senteurs de mise en abyme.

« on est foutu, on… »
dilapide, réchauffe, pollue, dérègle… à vous de choisir !
« trop »

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