Les films d’exploitations se déclinent en une multitude de sous-genres, dont le WIP (Women In Prison). Ce « Quartier Haute Sécurité pour femmes » appartient à ce dernier. Autant dire que le scénario se résume à holotype de celui-ci.
Janet, une touriste américaine de passage en Amazonie, fait une halte dans un village perdu, au milieu de nulle part, un lieu réduit à un bar louche qui suinte l’ennui. La charmante repousse les avances lourdingues d’un flic local, préférant celles d’un bellâtre mécanicien d’hélicoptère. Bien mal lui en a pris, puisque le lendemain elle est arrêtée et droguée par le susdit flic qui l’expédie, sans autre forme de procès, dans un pénitencier qui érige son enceinte au cœur de la forêt. Et le film peut commencer.
Le spectateur a droit tour à tour à quelques scènes soft de flagellation, de lesbianisme, de tentative de viol, de douche, de bondage, de crucifixion… de culs nus parmi les nénuphars… et de Chasses du comte Zaroff.
Mais le visionnage de ce métrage ne sera pas vain puisqu’au final, le voyeur déshydraté aura appris une méthode de réhydratation : « Humecte-toi les lèvres avec ma sueur »
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