Le ministère américain de la justice projette d’entrainer les forces de police grâce à un simulateur ultra performant. Mais nous n’en sommes qu’aux phases de tests et ce sont des repris de justice qui traquent un criminel virtuel Sid 6.7…
Et tout à coup, et comme chacun le pressentait, Sid 6.7 s’évade du virtuel pour investir le monde réel.
Il n’est pas interdit de considérer ce métrage comme un remake de Frankenstein à l’époque du numérique. Il n’est pas interdit non plus de sourire en découvrant les équipements informatiques aujourd’hui obsolètes qui peuplent le centre de recherche l’équipe du Doctor Darrel Lindenmeyer. En fait, rien n’est interdit, sauf de se focaliser sur les innombrables maladresses du scénario qui ne fait qu’empiler des scènes entièrement dédiées à Sid 6.7 (Russell Crowe). À tel point que Parker Barnes (Denzel Washington) semble absent pendant que Madison Carter (Kelly Lynch) est absente.
Mais le bouffeur de corn flakes déshydraté, tripeux de blockbuster à tendance métaphysique, sera esbaudi par le twist final, symétrique parfait de l’élément perturbant qui en débute de films déclenche l’action.
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