Au cours d’une intervention mal préparée, la femme de Niels Cartier est tuée.
Huit ans plus tard, Niels Cartier est devenu moniteur d’auto-école et rencontre de grandes difficultés à élever sa fille de 14 ans. Mais voilà que le gang responsable du décès de son épouse réapparait.

Chacun a retenu du « Antigang 1 », paru sur les écrans en 2015, le tsunami de testostérone qui emportait tout sur son passage, scénario et acteurs, laissant le regardeur pantelant, ce second opus rectifie en grande partie le tir. Ici, le film est bâti autour d’un scénario, certes réduit à peu de choses, mais existant malgré tout, et quelques rebondissements non dénués d’humour éveillent l’attention du regardeur que le duo « explosif » père-fille séduit plus que le Jean Reno du premier opus.

l a