Les trois fils du cheikh Amr ont été abattus par les hommes du SAS lors de la guerre du Dhofar. Depuis le cheikh ne rêve que de vengeance. Il embauche Hunter, un mercenaire, afin qu’il exécute les tueurs de ses fils, mais celui-ci renonce à la mission. Alors le cheikh le capture et fait savoir à son ami Danny que le prix de la vie de Hunter est la mort des trois anciens soldats du SAS.
Le scénario de ce métrage est basé sur le best-seller « The Feather Men » de Ranulph Fiennes publié en 1991 où l’auteur narre l’action du SAS durant la guerre du Dhofar. Mais très vite, c'est-à-dire immédiatement l’aspect politico-moral de l’intrigue disparait au profit du spectacle vrombissant et pétaradant. Tant et si bien que ce « Killer Elite » n’a nul besoin de se métamorphoser pour devenir une nouvelle pierre ajoutée à la filmographie de Statham, c'est-à-dire un métrage noyé sous des tonnes de testostérone d’où l’humour est radicalement absent et le à son romantisme faisandé.
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