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DUNE : PREMIERE PARTIEUn film deDenis villeneuveavecTimothée Chalamet |
127 Lectures Depuis Le mardi 26 Octobre 2021 |
Arrakis, une planète désertique, regorge d’Epice, une substance inestimable, car essentielle pour les voyages interstellaires. 1- Après 80 ans de présence sur Arrakis la baronnie Harkonnen sur ordre de l’Empereur Shaddam se retire. 2- Arrakis est confié à la Maison Atréides. Le piège se referme : avec le soutien de l’Empereur, les troupes de Harkonnen débarquent sur Arrakis, exterminent les forces des Atréides et assassinent leur dirigeant, le duc Leto I. Mais Paul, le fils de Leto I et dame Jessica, une disciple du Bene Gesserit, parvint à fuir. En compagnie de sa mère, il rejoint le désert où se terrent les Fremen, le peuple autochtone d'Arrakis. Paul serait-il le Mahdi, ce messie que les Fremen espèrent depuis si longtemps et qui doit les libérer de l’oppression ? Ce métrage, intitulé « Dune : Première partie », est la troisième adaptation du roman éponyme de Frank Herbert paru en 1965. Il vient après le Dune de David Lynch (1984) et la minisérie en trois épisodes de John Harrison (2000). Après l’échec de 1984, chacun l’attendait et beaucoup le louent. La presse quasi unanime le salue pendant que le public se masse dans les salles déconfinées. Space opera grandiose ; spectacle époustouflant ; monumental d’ambition et d’ampleur ; un spectacle de toute beauté ; grande œuvre de science-fiction ; blockbuster spectaculaire, intelligent, d’une beauté époustouflante ; hypnotique et d’une beauté sidérante ; œuvre galvanisante ; etc. Certes, ce long métrage ne manque pas de beauté, de cette beauté qu’exaltent les décors désertiques conjugués aux intérieurs aussi dépouillés que baroques, sentant l’encens et le mystère. Certes, la musique ne manque pas de cette profondeur enveloppante qui plonge le regardeur dans l’immensité insondable de l’univers. Mais que c’est long ! Que c’est vide, sibyllin et abscons, pompeux et boursouflé ! En un mot : ennuyeux !
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