Alan ne supporte pas d’avoir divorcé… Et alors que son ex-femme, une danseuse de music-hall, repousse ses avances, il la tue. Sa rage se porte ensuite sur deux amies de celle-ci, danseuses elles aussi, qu’il rend responsables de son échec conjugal…

Dès le générique, le regardeur contemporain date le film : le début des années 70 identifiable aux couleurs de la vague érotico-psychédélique intrinsèque à ces temps jadis.
Et la femme dédoublée qui danse à l’écran que baignent les voluptés d’une illumination kaléidoscopique revient presque aussitôt sur la scène que balaient des lumières multicolores.
Et Alan, individu à la mine patibulaire, fuit la police et flingue à tout va.
Et le scénario aussi ténu qu’un repas de jeûne s’étire en longue et s’emberlificote autour d’une histoire d’amour improbable qui artificialisera le dénouement.
« Tueur de filles » (« Flareup » en VO) : un métrage au taux d’intérêt négatif que ne parvint pas à sauver la façon originale dont Michèle neutralise définitivement Alan

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