Constance Bonacieux, dont D'Artagnan est amoureux, est kidnappé par les hommes du cardinal et confié au bon vouloir de Milady de Winter qui ne rêve que de laver l’affront que lui a fait subir D'Artagnan.
Ayant eu vent des funestes projets que nourrit Milady de Winter à l’égard de Constance Bonacieux ainsi que de ceux que caresse le cardinal à l’encontre du duc de Buckingham D'Artagnan, Athos, Porthos et Aramis se mettent en mouvement.
Ils délivrent Constance Bonacieux et la conduisent dans un couvent où ils l’imaginent en sécurité.
Mais ils ne peuvent empêcher Milady de Winter de comploter contre le duc de Buckingham et de pousser un pauvre hère à l’assassiné
Ils ne réussissent pas d’avantage à empêcheur Milady de Winter de trucider Constance Bonacieux.
Tout au plus, parviennent-ils à venger ces morts en livrant Milady de Winter à la hache du bourreau de Béthune et à se jouer une nouvelle fois du cardinal.

Ce deuxième volet du triptyque que Richard Lester consacra à l’adaptation du roman Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas dédie le plus grand de son temps à la pantalonnade des duels et de la bombance acrobatiques pour se refermer dans son ultime quart d’heure sur trois meurtres (le duc de Buckingham, Constance Bonacieux et Milady de Winter) tant et si bien que le comique parfois lourdaud s’étouffe pendant que le dramatique se fracasse.
Pour une certaine gent, cette situation serait rédhibitoire s’il n’y avait au générique Raquel Welch et Faye Dunaway

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