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LES TROIS MOUSQUETAIRES (TELEFILM)Un film deClaude barmaavecJean-paul Belmondo |
1655 Lectures Depuis Le mercredi 18 Septembre 2019 |
De cette adaptation par Claude Barma du texte d'Alexandre Dumas, diffusée en 1959 sur la RTF, dans son œuvre louable d’édification des masses exploitées, Wikipédia fournit le synopsis suivant : M. de Tréville mécontent que ses mousquetaires Athos, Porthos et Aramis se soient encore battus avec les hommes du cardinal, les convoque pour les sermonner. Le jeune D’Artagnan profite de la situation pour demander d’être sous les ordres de M. de Tréville mais il lui annonce qu'on lui a dérobé sa lettre de recommandation. En effet, montant un cheval jaune ou bouton d'or, il a provoqué le comte de Rochefort en duel à Meung, qui a préféré lui donner le bâton par ses valets. Pressé, le comte s’entretenait avec Milady de Winter. Sortant de son entrevue avec M. de Tréville, D’Artagnan bouscule et se chamaille avec chacun des trois mousquetaires, ce qui lui vaut un duel avec chacun d'eux au Luxembourg. Sur le lieu de leur affrontement, les quatre hommes sont surpris par les gardes du cardinal et pactisent alors pour les combattre sous le cri de « Tous pour un, un pour tous ». Les gardes sont accompagnés de Lord de Winter, le beau-frère de Milady, qui combat à leur côté contre D’Artagnan. Mais finalement, les deux hommes fraternisent et le Lord invite le Gascon chez sa sœur qui tombe sous son charme. Pendant ce temps, le cardinal, Milady et le comte de Rochefort complotent contre la Reine car le duc de Buckingham est à Paris… La présence du jeune, enthousiaste et charmeur Jean-Paul Belmondo, inconnu à l'époque, constitue la principale curiosité de ce téléfilm de deux heures où se pressent de grands acteurs du théâtre comme Daniel Sorano dans le rôle de Porthos, Jean Chevrier (Athos), Hubert Noël (Aramis), Robert Hirsch (Planchet), Galabru en Bonacieux veule à souhait. Robert Hirsch en un Planchet débordant de malice, Pierre Asso en cardinal de Richelieu onctueux à souhait et une Gaby Silvia en Milady de Winter plus perverse que jamais. Filmé partiellement en direct, ces acteurs se plient avec talent à des dialogues soignés et au jeu théâtral en vogue ces années jadis. Notons que Jean-Paul Belmondo ne reparait dans un téléfilm que quatre décennies plus tard, en 2001 dans « L'Aîné des Ferchaux » de Bernard Stora, remake de « L'Aîné des Ferchaux » de Jean-Pierre Melville, sorti en 1963, et où il interprétait Michel Maudet alors qu’il endosse dans ce téléfilm le rôle de Dieudonné Ferchaux
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