Alexandre Boroni s’introduit nuitamment dans une luxueuse demeure afin de dérober un tableau. Mais la propriétaire, une belle femme peu farouche le surprend… Le lendemain, sa permission terminée, Alexandre regagne la prison où il purge une peine pour escroquerie.
Six mois plus tard, sous l'identité d'un maharadjah, Alexandre embarque sur un paquebot de luxe dans l’intention d’escroquer une riche héritière. Mais son attention est attirée par la belle veuve d’un diamantaire… qui n’est autre que Sophie Chaperon, une arnaqueuse aux faux bijoux.
Et les deux compères se retrouvent dans le domaine de Helmut Von Ofenburg, un richissime châtelain. Alexandre repartira avec quelques millions en poche ; Sophie épousera Helmut.
En route pour Venise, où il prépare quelques carambouilles, Alexandre est abordé par Monsieur Fréchet qui prétextant une affaire galante, lui demande de passer sa mallette à la douane. Mais ce qu’Alexandre ignore c’est que la mallette contient un briquet qui contient un microfilm relatif à un carburant miracle. Et voilà ce pauvre Alexandre la proie de coupe-jarrets qui sème les cadavres sur son chemin…

C’est un Belmondo hâbleur et bondissant, souriant et cascadeur à souhait que le spectateur découvre dans cette comédie légère, de pur divertissement, aux senteurs de films à sketches. Pour les uns l’acteur cabotinerait dans ce gros navet, pour les autres c’est un Belmondo comme ils l’aiment, un métrage bourré de scènes cultes.
Le film atteint les 2 849 000 entrées sur toute la France, mais tout en constituant un succès, le film n'atteint pas le score de « Flic ou Voyou », le précédent film du trio Belmondo-Lautner-Audiard, sorti l'année précédente.

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