A la mort de son père, qu'il n'a jamais connu parce qu'enfant naturel, Paul, un jeune paysan mal dégrossi, hérite d’un grand magasin : Galeries Parisiennes.
Et voilà Paul contraint de quitter sa campagne natale et débarquant à Paris où sa belle-mère, une bourgeoise acariâtre, refuse de le recevoir.
Conformément au testament, il prend la direction des Galeries Parisiennes et il réussit à remettre de l'ordre dans l'affaire et à la rendre florissante. Parallèlement, il remet aussi dans le droit chemin sa demi-sœur Dominique, qui fumait, buvait et portait des pantalons ( !)
Tout ceci accompli, il abandonne l'entreprise à la jeune Dominique, qui s’est entre-temps mariée, et retourne à la terre…
Et le métrage se referme sur des images de bonheur : Paul a transformé sa ferme en une ferme modèle doté de tout le confort moderne ; Marie Louise, une jeune vendeuse des Galeries Parisiennes, intelligente et réservée, dont il est amoureux, le rejoint dans ce coin de verdure rieuse.

Les fans de Jean Richard se régaleront au visionnage de ce vieux métrage, ceux de Brigitte Bardot seront surpris de la découvrir inconsistante, les paléontologues du cinématographe observeront le film tel un ufologue examinant la dépouille de la Créature de Roswell. Les autres passeront leur chemin, convaincus de l'évanescent de ce « Portrait de son père »

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