Londres. Harry Compton, un employé de banque d'origine russe, est renvoyé pour avoir fait la cour à la jolie blonde Penelope Lightfeather pendant l'heure du déjeuner.
Bagda, un ami restaurateur d'origine russe, comme lui, et agent des services secrets soviétiques, profite alors de son désarroi pour l'enrôler en lui confiant une mission délicate : le vol d’un important dossier aux mains d'un membre de l'amirauté, Sir Reginald Dumfrey. Et la chance semble lui sourire : Penelope travaille comme couturière chez la femme de Dumfrey...

Très vite cette adaptation cinématographique du roman éponyme de Charles Exbrayat tourne en rond, comme à la poursuite du néant. Peu de choses retiennent l’attention du regardeur dans cette course à des documents dont on espère qu’ils ont plus d’intérêt que le métrage où ils servent de prétexte aux clowneries des uns et aux éclats de rire horripilants de Brigitte Bardot.
Au final trois seuls trois éléments prêterons pour les uns à sourire pour l’autre à éveil :
1- Brigitte Bardot y campe un personnage qui serait communiste.
2- Le réalisateur parvient à créer un soupçon de suspense autour d’une jupe dont la ceinture doit se défaire.
3- Les décolletés de Lady Barbara envahissent l’écran.

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