Monte Carlo.
Trois histoires s’entrelacent.

• Première histoire :

Attilio Carbone, un assureur maladroit et naïf, est séduit par la plantureuse Dora qui le convainc de faire souscrire à son mari une importante police d’assurance sur la vie.
Lors d’une croisière en mer, le mari, un faux manchot, signe puis il meurt d’une crise cardiaque. Attilio jette le corps par-dessus bord. La femme, qui était de mèche avec son mari, empoche l’argent et part sans laisser de trace. Les deux hommes échouent sur une ile déserte.

• Deuxième histoire :

Le Commendatore Aldo Petruzzelli, riche homme d'affaires, ne rechigne à quelques escapades avec de jeunes et jolies jeunes femmes. Mais lorsqu’il découvre que sa femme Mapi s’est entichée de Napoleon, un musicien de rue, Aldo est désespéré. Malgré tout, constatant que celle-ci sombre dans la dépression nerveuse, il accepte, sur les conseils du médecin de famille d’arranger un rendez-vous entre Mapi et le musicien.
Consciente du désarroi d’Aldo, Mapi lui avoue que Napoléon est homosexuel et que tout ceci était combiné pour le punir de ses infidélités
Mais en fait, Napoléon n’est pas homosexuel…

• Troisième épisode

Don Vittorino, de retour d'un pèlerinage à Lourdes avec quelques paroissiens, est convoquait à l’Evêché, car il est le sosie parfait d’un homme qui hante les rêves de la princesse Topazia. Sous la pression du futur mari de la belle, un psychologue qui a déjà soigné un monseigneur et même le Pape Jean-Paul II, il accepte d’endosser l’identité de cet homme afin de tenter d’effacer le rêve récurrent de la princesse.
La substitution se déroule au mieux et la princesse, qui semble guérie de son obsession, épouse celui qui lui était destiné. Quant à Don Vittorino il est nommé confesseur de celle-ci. Mais tous ignorent les réels projets de la princesse et de Don Vittorino…


La seule originalité de ce métrage qui aurait pu être un classique film à sketches c’est de ne pas l’être en entremêlant trois histoires aux moments inégaux et à l’humour tout aussi discutable.

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