Max Cohen ne croit qu’à une seule chose : l’univers est soluble dans des équations. Quoique d’équations il en sera très peu question… En fait Max Cohen est un monothéiste, tendance chiffres, fraction développements périodiques illimités (DPI). Par voie de conséquences : percer le mystère numéral de la Torah équivaut à découvrir la loi qui génère les décimales de pi, nombre irrationnel mondialement connu, et réciproquement.
Quant au fond, le spectateur informé par voie de presse de la chose mathématique, pourrait reprocher au scénario de confondre cette activité cérébrale susnommée avec la comptabilité et d’ignorer qu’y compris le hasard, désigné parfois sous l’appellation d’aléatoire, est l’objet de l’immense continent que cernent statistique et probabilités.
Quant à la forme de ce métrage que d’aucuns rangent dans la prétentieuse catégorie de « Cinéma de guérilla » (1), le spectateur adepte des produits illicites sera comblé d’avoir sa dose au prix d’une place de cinéma.
Quant à pi, la formation de ses décimales obéit, peut-être, à la loi p=1/10.



1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Cin%C3%A9ma_de_gu%C3%A9rilla

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