Le cercle d’or, cartel mondial de la drogue que dirige Poppy Adams, une rousse impitoyable a introduit dans ses produits un virus mortel. Poppy Adams, qui a au préalable réduit en cendre le quartier général du Kingsman et tué la plupart de ses agents, informe les gouvernements qu’elle ne leur remettra l’antidote qu’à condition qu’ils accèdent à ses exigences.
Plus fou que fou : « Kingsman : Le Cercle d'or », second volet des aventures de l’agent très particulier Eggsy. Dès l’ouverture du métrage, le spectateur à droit à une scène survoltée où, à bord d’un taxi londonien, Eggsy affronte un agent traite au bras bio mécanique. Et le métrage enfile les excès en tout genre autour d’un scénario à la pauvreté patente. Mais qu’importe ? De l'Italie au Cambodge, d’un taxi à un téléphérique, d’un magasin de complets trois-pièces à une distillerie de bourbon dans le Kentucky, des égouts de Londres aux stades concentrationnaires, le film dépolit son scénario parcellaire sur un rythme soutenu et délirant qui anesthésie toutes les velléités analytiques. Et le regardeur se laisse emporter par le flot continu de séquences azimutées ayant pour décor la planète globale.
L A