La parachutiste Fathom Harvill est contactée par un Colonel des services secrets anglais. Il la charge d’une mission délicate : récupérer appareil permettant de déclencher des bombes atomiques à distance.
Mais tout n’est que faux semblant et Fathom Harvill découvre que cet appareil n’existe pas, qu’il s’agit de mettre la main sur une relique chinoise et que personne n’est celui qu’il prétend être.

1967. Bond en est à « Opération Tonnerre » et nombre de métrages se sont engouffrés dans le sillon de double zéro sept. Fathom peut être rangé dans cette catégorie, même s’il tente de s’en démarquer en posant au centre un personnage féminin. Malheureusement ses velléités d’originalité n’iront pas plus loin que cet écart avec la doxa. Il aurait fallu que le scénario soit d’une autre tenue et ne se résume pas à un simple prétexte permettant de filmer Raquel Welch gambadant la plupart du temps en bikini. Mais nous sommes en 1967 et l’Internet n’existe pas…

L A