Luther Sledge et son comparse Mallory font halte dans un saloon… Luther monte à l’étage en galante compagnie, Mallory s’assoit à une table de poker… Mallory gagne… accusé de tricher, il est tué d’une balle dans le dos… Luther le venge illico.
Un vieil homme révèle à Luther l'existence d’un important stock d’or caché à l'intérieur d'un pénitencier… Luther rassemble quelques complices… il se laisse enfermer comme prisonnier… déclenche une émeute… la bande fuit avec l’or.
Dans le désert, la bande joue l’or au poker… Luther gagne et part avec l’or.
Dans un village mexicain, la bande rattrape Luther… ils lui promettent la vie sauve à lui et sa compagne, celle avec qui il était monté à l’étage, en échange de l’or…

Alors qu’aux USA, le western trépasse sous les coups de la démystification, il renait de ses cendres en Italie. A la croisée de ses chemins et de ses destins, entre disparition et résurrection se glisse cet hybride oublié depuis des décennies.
Western américain de par sa distribution, son réalisateur et certains aspects de son scénario, western spaghetti pour les mêmes raisons, ce « Nommé Sledge », métrage certes vigoureux quant à sa première partie, s’entrave et se vautre lamentablement une fois passé la séquence de l’émeute. Et les soubresauts de l’évasion sont vite oubliés lorsque vient le temps des préceptes de vie

L A