Voila 25 ans que Kevin Flynn, développeur de logiciels et directeur de la société ENCOM International, a disparu… et voilà que Alan Bradley, ancien collègue et ami de son père reçoit un étrange message provenant de la salle d'arcade. Sam Flynn se rend aussitôt dans ce lieu abandonné où il reboot un programme…
Et voilà Sam Flynn aspiré dans l’univers des programmes et de jeux mortels…
Avec l’aide de son père et de la fidèle Quorra, il va devoir affronter plus d’un danger avant de regagner la sortie…

Epoustouflant… Les décors qui mixent les bits et les octets à la centrifugeuse ; la bande-son qui rythme violemment l’action et que signe Daft Punk ; la 3D qui creuse les perspectives infinies. Mais là s’arrête la magie du métrage, car du reste rien n’est à sauver, ni le jeu des acteurs que noie une esthétique bleue fluo, zébrée de rouge, ni le scénario, simpliste, indigent et au lointain rapport avec l’univers immatériel dans lequel évoluent les protagonistes. A bien l’observer, et en dernière analyse, toute chose restant égale par ailleurs, ce scénario moyennant quelques infimes rectifications pourrait servir de charpente à un Matrix, Terminator, Star Wars ou une quelconque dystopie. En d'autres termes, il n’est pas intrinsèquement lié à ce métrage, il n’est que le prétexte des éléments cités précédemment qui le rendent visuellement époustouflant.

L A