« The code » constitue le millionième volet de la saga « les malandrins sont ingénieux ».
« Keith Ripley, passé maître dans l’art du cambriolage, fait appel à Gabriel Martin pour l’associer à ce qui sera son plus grand coup : le vol, chez un diamantaire russe, de deux œufs Fabergé d’une valeur de 40 millions de dollars » (Wikipédia).
Bien sûr le système de sécurité du coffre-fort de ce négociant russe est inviolable. Bien entendu, les deux compères, passés spécialistes en électronique, informatique, acrobatie, maçonnerie, fraisage, braquage, marathon… et sang froid, réussiront l’impossible. Un incroyable auquel, nous autres simples spectateurs, ne comprendrons pas grand-chose.
Là ne réside donc pas l’intérêt de ce film à la caméra fainéante qui ne se départit de ses plans frileux qu’à l’occasion de trois brefs détours chez David Hamilton pour des images à l’érotisme soft en direction de la gent féminine ou gay pour l’un d’entre eux.
En fait, le seul intérêt de ce film réside exclusivement dans l’originalité de son scénario fait de multiples rebondissements quant aux véritables identités des protagonistes. Celui que l’on croyait assassin se révèle complice, pendant que celle que l’on imaginée orpheline ne sera kidnappée que par des comparses aux mines patibulaires... etc.
L A
