Renée, mère divorcée, vit seule avec son jeune garçon Evan. Au début d’un week-end, alors qu’elle vient déposer Evan chez son père, elle est kidnappée par les membres d’une inquiétante organisation.
Solidement enchainée et bâillonnée, elle est transportée jusqu’à un mystérieux laboratoire.

« Tout est affaire de décor »…
Sous un éclairage rouge-orangé Noomi Rapace se débat avec rage tendant de défaire les solides liens qui la maintiennent rivée à la table d’opération où l’ont déposée ses ravisseurs. Sous cette même lumière, elle parcourt le labyrinthe des gaines d’aérations, assistant à des scènes de tortures incompréhensibles, ou se glisse subrepticement le long de couloirs déserts…
Que veulent les individus qui la séquestrent et qui la soumettent à une batterie de tests sibyllins ? Où est-elle et reverra-t-elle un jour son fils ? Noomi Rapace est de la race des survivors et chacun sait qu’elle contiendra ses peurs et vaincra ses phobies… Noomi Rapace appartient à cette catégorie d’actrices qui ne se contentent pas de camper un personnage, elles l’investissent jusqu’à n’être que ce personnage.

Qu’aurait été ce métrage si Renée avait été une autre ? Bien peu de choses, car
« Tout est affaire de décor »
mais encore faut-il
« Changer de lit changer de corps »…

L A