Gilles, un garagiste, jongle entre son activité professionnelle et une vie amoureuse particulièrement complexe. Il se partage en effet entre Françoise, sa fiancée qui arrive de province, Christa, sa jolie secrétaire et Juliette et Monique, deux jeunes femmes qui squattent son appartement.
Ses amis, Claude, Max et Xavier, jaloux de son succès auprès de la gent féminine vont se liguer pour faire dérailler sa belle mécanique en mettant toutes ses maîtresses en présence les unes des autres...

Un an après ses « Bananes mécaniques » (1), « polissonneries déshabillées », Jean-François Davy (2) récidive avec ce métrage érotico-comique qui comme le précédent rencontre le public et atteint le million d’entrées. En 1975, il obtient son plus grand succès avec Exhibition (3), un film enquête consacrée à l’actrice pornographique Claudine Beccarie (4) qui réalise plus de trois millions d’entrées. Malheureusement, la loi sur le classement X des œuvres à caractère pornographique met fin à son exploitation sur les écrans.

Mais revenons-en à cette queue qu’il faudrait prendre comme tout le monde et disons seulement : film outrageusement seventies dont l’humour aux relents théâtre de boulevard tendance paillardise porno soft, malgré le vent de folie débridée qui l’irrigue, n’a pas réussi à passer le mur du temps.

1- https://fr.wikipedia.org/wiki/Bananes_m%C3%A9caniques

2- https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Davy

3- https://fr.wikipedia.org/wiki/Exhibition_(film)#Synopsis
Exhibition serait le seul film français à avoir été classé Art et Essai, puis classé X, déclassé Art et Essai, et enfin reclassé Art et Essai

4- https://fr.wikipedia.org/wiki/Claudine_Beccarie

L A