Retiré du monde, Hercule Poirot se délectait des délices de la vie vénitienne jusqu’au jour où une amie de 30 ans vint toquer à sa porte.
Cette autrice de roman policier fit appel au concours de sa sagacité afin qu’il démasque une spiritiste lors de la séance qu’elle devait tenir dans un palais décrépi et soi-disant hanté…
Intrigué, bien que réticent, Hercule Poirot accepte d’accompagner son amie. Mais voilà qu’au terme de la séance l’occultiste est assassinée.

Portes qui claquent, miroirs qui se brisent, fenêtre et volets qui grincent et s’ouvrent brutalement, orage qui gronde et mer démontée, rien ne manque au magasin des frissons, pas même les lumières qui vacillent. Et pourtant cette adaptation du roman d'Agatha Christie « La Fête du potiron », aux dialogues en forme de logorrhée, plonge le regardeur dans un profond ennui tant il manque d’imagination et croule sous l’académisme.

L A