Le serial killer, que d’aucuns ont surnommé « L’Artiste » et dont le palmarès s’élève à six meurtres théâtralisés de femmes, moisit en prison et occupe ce long loisir à dessiner au fusain des scènes religieuses.
Mais voilà qu’un copycat s’approprie son monde opératoire. Et les cadavres de femmes se ramassent à la pelle !
Les détectives, Jake Doyle et Mary Kelly, se tournent vers « L’Artiste » dans l’espoir d’obtenir son aide.

Disons le sans détour, jamais métrage n’est entré à ce point en résonnance avec son intrigue ! Le tuer en série qui sème la terreur dans l’Arkansas est le copycat de « L’Artiste » tout comme ce « Mindcage » est le copycat du « Silence des agneaux » nonobstant twist final aussi inattendu que ridicule. Mais ici comme ailleurs, l’adéquation est parfaite puisque ridicules le sont les accoutrements d’ange dont son affublé les cadavres.

L A