La galaxie de la terreur sur RayonPolar - #film


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La Galaxie De La Terreur

Un film de

Bruce D. Clark

avec

Edward Albert
Zalman King
Erin Moran


- 1981 -
1444
Lectures
Depuis
Le lundi 19 Janvier 2015


 


Depuis qu’il s’est posé sur la planète Morganthus, le vaisseau spatial « Rebus » ne donne plus signe de vie.
Le Maître (1) profite de l’occasion pour dépêcher sur place un vaisseau de sauvetage.
A son arrivée, l’équipage ne trouve que morts et désolation… et une bien mystérieuse pyramide dont l’intérieur oscille entre labyrinthe géométrique et boyaux gluants que peuplent des larves, friponnes pour certaines…

Le succès mondial d’« Alien » (1979) incite une multitude de producteurs à s’inscrire dans le sillage de l’horreur spatiale. « Galaxie de la terreur » constitue un exemple parfait de ce phénomène financier.
Sans perdre son temps en vaines dramaturgies consubstantielles à un voyage jusqu’aux confins de l’univers, le réalisateur pose le vaisseau spatial, aux allures d’« Enterprise », sur la surface hostile de la planète inexplorée.
Et le métrage débute réellement lorsque l’équipage entreprend l’exploration de la mystérieuse pyramide (2) aux allures d’antre d’« Alien ». Le métrage débute et l’intrigue se met en mode pose…
A l’écran s’enchainent des séquences à la structure quasi identique : des forces obscures mettent à mort l’un des membres de l’équipage, perdu dans le dédale de la pyramide. Mais paradoxalement, c’est dans cette répétition que le métrage puise son intérêt et non pas de son intrigue à la philo-ridiculo absconse (3).
Comment ne pas gouter à l’originalité radicale de la solution qu’adopte l'un des membres de l'équipe lorsqu’un fragment de cristal maléfique, telle la Tunga penetrans, s’introduit dans son bras et remonte le long de celui-ci ?
Comment ne pas s’esbaudir en découvrant l’improbable scène sexe-gore-soft, où un myriapode géant et gluant déshabille et viole la blonde de l’équipe ?

Au final, si, d’un point de vue scénaristique, ce film ne mérite pas l’attention du quidam, l’accumulation du « grand n’importe quoi » à obédience gore le métamorphose en un petit chef-d'œuvre du cinéma bis




1- Personnage risible, dont le visage irradie une lumière rouge

2- Chacun se demande ce qui pousse la frêle équipe à entreprendre cette exploration

3- La progression de l’intrigue ne reprend qu’une dizaine de minutes avant que n’apparaisse le générique de fin. Mais avec cette reprise, le film se délite complètement !



L A

  La Galaxie De La Terreur
 
 
 
 


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