Lors de la fête d’anniversaire de son beau-père, la femme de Jeffrey Franken passe sous le hachoir de la tondeuse automatique qu'il a fabriquée. Ayant soigneusement conservé la tête, cerveau compris de la défunte, Jeffrey Franken décide de reconstituer sa bien-aimée. Pour ce faire, il récupère les membres nécessaires sur des prostituées qui ont explosé sous l’effet de la drogue qu’il leur a fournie.
A la lecture du synopsis, chacun subodore la nature exacte de ce métrage, pastiche du célébrissime. Frankenstein qu’évoque son titre, le nom de la susdite épouse ainsi que celui du protagoniste principal. Et le regardeur qui douterait de celle-ci sera définitivement convaincu quand il verra Jeffrey Franken stimuler son cerveau à coup de perceuse judicieusement placé.
Le ton est à la farce semi-gore, à l’exagération sexy soft et au délire ultra coloré…
Topless vulgaires, nudies sublimes ? Super nanar ou film d’Art & d’Essai ? A chacun de juger !
L A