L’Ecosse a été transformée en une immense prison à ciel ouvert où les survivants d’une terrible épidémie, qui a décimé la quasi-totalité de la population, sont maintenus en quarantaine.
Mais lorsqu’une trentaine d’années plus tard le virus du Faucheur refait son apparition au cœur même de Londres, un puissant commando est expédié dans le no man’s land écossais, où règne la barbarie, afin de dénicher un anti virus

Pour ce métrage survitaminé, qui déroule des scènes d’action spectaculaire sur fond futuriste et apocalyptique, le réalisateur probablement fin connaisseur de ce genre de film a jeté dans le chaudron de « New York 1997 » quelques morceaux saignants et trépidants de « Mad Max », de « Resident Evil », d’« Alien », « Des Guerriers de la nuit », d’« Highlander », d’« Ivanhoé » et de beaucoup d’autres métrages tout aussi nerveux.
Le spectateur, cloué à son fauteuil, suit les mésaventures de la charismatique Eden Sinclair, sorte de fille naturelle d’Ellen L. Ripley et d’Alice. Et ainsi, sautant d’une horde de cannibales rock au château d’un nostalgique mystique, il s’achemine paisiblement, mais le cœur battant la chamade, vers un dénouement qui n’annonce qu’une suite, une suite qu’il ne peut qu’attendre avec impatience…

L A