Elly Conway écrit des romans d’espionnage à succès. Mais un jour, à bord d’un train, elle croise un véritable espion qui la tire des griffes d’une horde de malfaisants qui voulaient la tuer au prétexte que ces fictions ne seraient que la transposition livresque de la réalité.
Tout commence comme une version modernisée du film « Le Magnifique » et brusquement à mi-parcours, le métrage bascule. À partir de cet instant, plus personne n’est celui qu’il croyait être et le spectateur reconnait une idée empruntée à des métrages comme « Au revoir à jamais ».
Dans cette seconde partie du film, le scénario, déjà fort confus par moment, atteint les abysses de l’embroussaillé et perd le regardeur ne lui offrant plus qu’un spectacle visuel où la danse et le délire occupent l’écran.
Au final, il y a fort à parier que ledit regardeur ressorte de la projection de ce métrage extrêmement embarrassé et ne puisse répondre à la question : que vient-il de voir exactement ? Une grosse daube ou un film d’auteur torturé ?

L A