Alors qu’il vient d'acheter des tourterelles pour son épouse, Michel Ferréol rencontre par hasard un ami d'enfance, Antoine Fiesco. Dans un premier temps, Michel tente d’éviter cette vieille connaissance, mais il ne peut échapper à l’invitation et les deux hommes s’installent à la terrasse d'un café où ils rejoignent Christine, la femme d'Antoine.
Michel s’aperçoit très vite que la jeune et belle Christine s’ennuie avec son époux qui ne rêve que se rengager dans l’armée.
Antoine, qui doit se rendre à un meeting d’ancien d’Algérie à la mutualité, abandonne son ami et sa jeune épouse au café.
Michel propose à Christine de la raccompagner, puis il l’invite à boire un verre, puis au restaurant… et de fil en aiguille, c’est l’adultère… mais cette soirée, qui aurait dû s’achever vers une heure du mat, heure à laquelle rentrent les conjoints de chacun, ne prend fin qu’à six heures du matin… Comment justifier l’absence d’une nuit du domicile conjugal ?
Michel décide de raccompagner Christine et il raconte à Antoine une histoire abracadabrantesque. Mais celui-ci n’en croit pas un mot et préfère quitter sa femme et se rengager. Michel le conduit jusqu’à la gare où il embarque dans un train en partance pour Marseille.

Le scénario de ce métrage tient à peu de chose : c’est l’histoire d’une nuit d’adultère que la malchance éternise. Mais c’est aussi un scénario forgé dans l’immoralisme qui avait dû faire sourire sous cape plus d’un polisson.
Certes, des longueurs plombent le rythme du film, mais la visite de Paris des années 60 mérite que le regardeur s’attarde à son visionnage.

A noter que Brigitte Bardot et Jacques Charrier font une brève apparition non créditée au générique.


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L A