Fatiguée par ce métier incertain de Stripteaseuse à domicile, Beth Raymer met le cap sur Las Vegas. La chance lui sourit, le bookmaker Dink Heimowitz, pensant qu’elle lui porte chance, décide de l’embaucher.
Ce métrage est l’adaptation des mémoires de Beth Raymer « Lady Vegas : Les Mémoires d'une joueuse », devenue depuis l’époque qu’elle y narre journaliste et écrivaine.
Les professionnels de la critique n’ont pas été tendres avec cette Lady Vegas. Ainsi, certains ont écrit
« Avec "Lady Vegas", Stephen Frears signe un véritable navet. (...) Seul bon point: le film est constant dans sa nullité. »
« Réalisée en touriste, la comédie de mœurs tourne vite mais à vide. »
« L'évidente désinvolture avec laquelle [Stephen Frears] traite son scénario, le mépris dans lequel il tient ses personnages conduisent à s'interroger sur les raisons qui l'ont poussé à faire ce film. »
Est-ce à dire que cette comédie de mœurs ne vaut pas son pesant de lentilles ? Elle marque au moins le retour de Bruce Willis dans un rôle autre que « produit d’appel » et offre le charmant spectacle d’une Rebecca Hall en bimbo courte vêtue et généreusement décolletée.
L A
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