| L'opinion de René Barone polar.multimania.com | |
| J’avais mal au crâne ... tout était noir ... Je devais ouvrir les yeux ... Je retrouvai mes esprits en une fraction de seconde et sautai sur le plancher. - Nom de Dieu ! Hagard, je fixai le lit. Au milieu des draps froissés gisait le cadavre ensanglanté de Thérèse Galin. On lui avait tranché la gorge de part en part (...) J’occupais, dans la mise en scène qu’avaient échafaudée les meurtriers, une place centrale. On trouve dans ce court passage un des ingrédients d’un bon polar “classique” : le privé qu’on cherche à impliquer dans un meurtre dont il va falloir se dépêtrer. Tout avait commencé de façon classique pour le privé imaginé par Luis Alfredo : demande de suivre une certaine Thérèse Galin. Simple travail de routine ? Il semblerait, mais bientôt il va se retrouver dans une sale situation. Voir plus haut ! Un livre qu’on lit facilement et qui nous change des sempiternelles histoires de tueur en série, avec un privé toulousain qui, à ses moments perdus, lit Le Capital de Marx ! Ca sort de l’ordinaire ! |  L'opinion de Paul Maugendre L'opinion de Michel Mathe dans Toulouse.webstub "Fac Tatum" Arnaud Paul dans la "Nouvelle République" L'opinion de Jacques ( black jack ) dans Noir'Rôde Dans le DICTIONNAIRE DES LITTERATURES POLICIERES |